Logo du Site Internet

Le livre pour l'environnement

Nous allons voir ce que APPA nous apprend sur la pollution de l'air. Mais vu que le livre date de 1998, nous allons voir les tendances de cette époque et les comparer avec les tendances actuelles.

Le livre qui montre décrit tous les aspects de la pollution atmosphérique.

Ce qu'il faut savoir du livre

Dans ce livre, il y a la présentation des sources polluantes, les effets de la pollution et enfin les prévention. Mais, ce livre date de 1998, c'est donc pour voir quelle était les tendances à cette époque et ajouter tout ce qui se passe en plus aujourd'hui.

Les différentes définitions à savoir avant de se lancer

Nous allons commencer par voir toutes les informations du livre. Mais avant cela, nous allons définir ce qu'est l'atmosphère, du grec atomos qui signifie vapeur et sphaira qui est la sphère est la couche d'air entourant le globe terrestre. Les chlorofluorocarbures (c'est une sous-classe de gaz fluorés, c'est des gaz à effet de serre qui dégradent la couche stratosphérique d'ozone qui protège le vie sur la planète et sur les ultraviolets).

Image explicative de l'atmosphère.

Image explicative de l'atmosphère.

Les aspect de la pollution atmosphérique

La pollution atmosphérique vient de plusieurs aspects différents comme les phénomènes planétaires (éruption volcanique), le tabagisme, la pollution urbaine qui est la plus présente. D'après les sondages, la pollution atmosphérique inquiéte la société des pays les plus développés car ce sont ceux qui en rejettent le plus. C'est pour une bonne qualité de l'air qui est importante. Elle est due principalement par les activités industrielles, le trafic automobile, le rejet de déchets. L'air que l'on respire est la partie basse de l'atmosphère, elle est composée de gaz carbonique (0,035%), d'argon (0,9%), d'oxygène (21%) et principalement d'azote (78%), c'est de l'air sec.

Les sources et les effets néfaste de la pollution de l'air

Les sources de pollution sont le trafic routier, transports aériens ou même maritime, mais aussi le chauffage, le pollens, l'agriculture, les volcans. C'est la cause des rejets polluants des véhicules et donc des combustibles. En plus de cela, il y a une grande augmentation des voitures au sein des populations, elle est de plus en plus accessible. Les processus de combustion sont le carbone (charbon, bois , gaz naturel, fuel) qui est source de CO2. Les sources de la pollution sont l'industrie, les sources naturelles, les ordures ménagères, les activités agricoles. Mais, il y a aussi des pollutions accidentelles comme des fuites de gaz toxique, les incendies de forêts, ou encore l'explosion d'un réacteur nucléaire comme à Tchernobyl et donc beaucoup d'effets néfastes pour la santé à cause de la radioactivité. Les effets de la pollution sont dévastateurs à long terme comme le risque de cancers de poumons mais bien inférieur à celui du tabac bien évidemment mais aussi des maladies psychiques (dépression et aggravement des maladies cardiovasculaires,…).

L'influence de l'environnement

L'effet de serre est naturel, il permet le développement de la vie sur Terre, et donc la température est de 15°C au sol. Sans ce phénomène, la Terre aurait une température moyenne de -18°C. Mais l'émission de certains gaz, due aux activités humaines, provoque un déséquilibre radiatif et certains climatologues s'inquiètent. Le rayonnement solaire passe par l'atmosphère puis il y a des rayonnements du soleil qui passe et que le sol absorbe et d'autres que l'atmosphère renvoie vers l'espace sauf que ce rayonnement thermique est au départ absorbée pour ensuite être renvoyée et donc la chaleur augmente. Malheureusement, cela est menacée par la pollution atmosphérique et donc les activités humaines entraînent des élévations de concentration de gaz à effet de serre, qui a créé en plus de cela des nouveaux responsables comme par exemple les chlorofluorocarbures (c'est une sous-classe de gaz fluorés (c'est des gaz à effet de serre qui dégrade la couche stratosphérique d'ozone qui protège la vie sur la planète et sur les ultraviolets)). Les gaz polluants des gaz à effet de serre, sont le méthane (CH4), le dioxyde de carbone (CO2), les CFC (les chlorofluorocarbures), l'ozone (O3) et le protoxyde d'azote (N2O). Le dioxyde de carbone, les CFC et le méthane sont les principales sources des gaz à effet de serre.

Les conséquences et la lutte contre la pollution de l'air

Il faut lutter contre les gaz à effet de serre car il y a une élévation du niveau des mers, la fonte des glaciers, l'avancée des déserts, modification des cours d'eau. Nous allons voir comment lutter contre la pollution atmosphérique. Il y a des lois qui sont créées comme les contrôles techniques des voitures en 1972 par exemple. Les réglementations sont européennes et d'autres sont internationales. Il y a des plans qui sont mis en place, les PDU ( plans de déplacements urbains ) qui veulent diminuer le trafic automobile mais cela ne se fera pas ; le développement des transports en communs ou aussi le développement du vélo et de la marche à pied qui maintenant diminue pour la marche à pied mais moins brutalement grâce aux applications qui donnent de l'argent selon le nombre de pas. Sur le vélo, elle est en hausse grâce notamment aux vélos électriques. Et pour les transport en commun, le covoiturage est un succès comme avec l'application BlaBlaCar ou il y a les bus et train qui restent très utilisés aujourd'hui.

Les préventions et le futur de la planète

Les préventions sont la réduction des énergies fossiles ( charbon, pétrole, gaz naturel ). Les solutions sont les énergies nucléaires, mais leurs déchets sont très polluants s'ils se désintègrent. Il y a aussi les énergies renouvelables mais leur électricité est faible comparé à la construction du produits pour les énergies solaires comme les éoliennes par exemple, même avec l'énergie hydraulique c'est pareil. Ces énergies renouvelables sont quand même intéressantes car il y a de moindre émission de gaz à effet de serre. Il faudrait abandonnés les énergies fossiles même si elles sont très importantes au sein de la population mondiale. Les alternatives sont les donc les énergies renouvelables comme les énergies solaire, éolienne, hydraulique,…

Photo avec des éoliennes et des panneaux solaires.

Photo avec des éoliennes et des panneaux solaires.

Voici un extrait du Livre :

Les retombées acides Les retombées acides proviennent de pollution d'origine agricole, industrielle ou urbaine. L'acidité de ces retombées de ces retombées sont mesurées en unités de pH ou potentiel hydrogène. Ces retombées sont sèches ( gaz, particules ) ou humides ( pluie, brouillard ou neige ). En France, le pH « naturel » de l'eau de pluie est de l'ordre de 5,6 alors que les neiges tombées à l'époque préindustrielle, aux environs de 1800, présentaient un pH égal ou supérieur à 6. La pollution a pour effet d'abaisser le pH des précipitations. A ces retombées acides, il faut ajouter les dépôts non acides en tant que tels mais acidifiant les sols au cours de leur transformation, comme l'ammoniac ( NH3 ). Les polluants responsables Les émissions de dioxyde de soufre ( SO2 ) par les industries, les centrales thermiques ou les chauffages domestiques ainsi que les émissions d'oxydes d'azotes ( NOx : monoxyde d'azote NO et dioxyde d'azote NO2 ) par les foyers industriels et domestiques et par les moteurs d'automobiles, sont les principaux responsables de la formation des retombées acides. Au contact de l'humidité de l'air, ces polluants se transforment en acide sulfurique ( H2SO4 ) pour le SO2 et en acide nitrique ( HNO3 ) pour les NOx. Les dépôts d'ammonium ( NH4 ) issus de l'ammoniac ( NH3 ), provenant essentiellement de l'agriculture et de l'industrie chimique, représentent un potentiel d'acidification équivalent, en France, à celui des oxydes d'azote. Dans une moindre mesure, le chlore ( combustion de PVC - polychlorovinyle ) et le fluor ( les industries du verre et de l'aluminium ) participent aux retombées acides par la formation respective d'acide chlorhydrique ( HCI ) et d'acide fluorhydrique ( HF ). En France, pour l'année 1995, l'agriculture a contribué pour 35% aux émissions relatives à l'acidification, les transports pour 26% et l'industrie pour 10%. L'extension des retombées acides à l'échelle planétaire, due à l'émission de polluants, leur transport et leur transformation par les phénomènes météorologiques ( voir chapitre « la pollution atmosphérique et la météorologie » - p. 24 ), est à l'origine de l'expression « pollution transfrontière ». Si vous voulez en savoir plus vous savez ce qui vous reste à faire.